LES DATES DES EPREUVES ECRITES DU DNB 2019 sont fixées au Jeudi 27 et Vendredi 28 juin 2019.
SACHANT QUE POUR LES EPREUVES DE SCIENCES, LA SVT ET LES SCIENCES PHYSIQUE/CHIMIE ONT ETE TIRE AU SORT CETTE ANNEE
LES DATES DES EPREUVES ECRITES DU DNB 2019 sont fixées au Jeudi 27 et Vendredi 28 juin 2019.
SACHANT QUE POUR LES EPREUVES DE SCIENCES, LA SVT ET LES SCIENCES PHYSIQUE/CHIMIE ONT ETE TIRE AU SORT CETTE ANNEE
EPREUVE ORALE DIPLOME NATIONAL DU BREVET 2019 DU VENDREDI 7 JUIN 2019
1.Les objectifs de l’épreuve :
L’épreuve permet au candidat de présenter l’un des objets d’étude qu’il a abordés dans la cadre de l’enseignement de l’Histoire des arts ou de soutenir un projet mené soit dans le cadre d’un EPI (enseignement pratique interdisciplinaire), soit dans le cadre d’un parcours éducatif (parcours citoyen, parcours avenir, parcours éducation artistique et culturelle).
La durée de l’épreuve est de 15 minutes devant un jury de deux ou trois professeurs :
L’épreuve est notée sur 100 points :
Les compétences évaluées :
Maîtrise de l’expression orale :
Maîtrise du sujet présenté :
L’opération « Océan & Climat, Graines de reporters scientifiques » vise à offrir aux collégiens et lycéens l’opportunité d’être des médiateurs scientifiques pour les autres jeunes sur un sujet majeur science-société : les interactions océans et climat, qui jouent un rôle central dans la machine climatique et constituent un enjeu environnemental crucial.
Clôture des inscriptions : le 22 mai 2019.
Cet appel à projet s’adresse à des équipes pluridisciplinaires d’enseignants qui souhaitent s’inscrire à l’opération « Océan & Climat, Graines de reporters scientifiques ».
L’équipe pluridisciplinaire d’enseignants (3 a minima) choisit 2 (en les priorisant) des 10 thèmes liés à la problématique « Océan et Climat » présentée par le site http://www.lesdessousdelocean.com/ en vue de la production d’une vidéo de 3 minutes.
Les 10 thèmes : 1. L’océan, moteur du climat, 2. La montée des eaux, 3. L’océan plancton, 4. Migration des ressources marines, 5. L’acidification des océans, 6. Les petites îles vulnérables, 7. La fonte de l’arctique, 8. Les évènements climatiques extrêmes, 9. Les réfugiés climatiques, 10. L’océan plastique
Pour l’édition 2019-2020 : 110 établissements seront retenus sur l’ensemble de la France et des lycées français à l’étranger par les équipes de référents des académies, dont 5 dans notre académie.
Ils accompagnent 5 projets dans l’académie notamment sur le volet éducation aux médias. Ils aident au traitement médiatique de l’information scientifique : se documenter, délimiter son sujet, préparer l’interview, tourner, cadrer, monter. Apporte des ressources…
La chargée de mission enseignant de la Fondation Tara expéditions : Pascaline Bourgain est ressource pour la mise en lien avec les chercheurs, le conseil sur les angles d’accroche, les ressources, la coordination de la validation scientifique, la fourniture de visuels…
Des formations en présentiel ou à distance seront proposées aux équipes enseignantes engagées dans le but de les accompagner. Sont entre autres visés : une aide à la prise en mains des outils de production (vidéo, data visualisation, infographie, quizz…), une initiation à la démarche du journalisme scientifique, une sensibilisation à la problématique océan et climat, une présentation des ressources scientifiques de Tara…
Des rencontres en visioconférences avec des chercheurs : pour chacun des 10 thèmes, une visioconférence d’un chercheur en direct, suivie d’échanges de questions-réponses avec les élèves, sera proposée par la Fondation Tara Expéditions. Vous pouvez voir ou revoir celle de l’an passé (sans les questions des élèves qui ont suivi)
Le site http://www.lesdessousdelocean.com/ regroupera l’ensemble des vidéos produites des graines de reporters 2018-2019 (finalisation fin mai) et accueillera les nouvelles chaque année.
Le ministère est engagé dans la lutte contre toutes les formes de discriminations et de violences, dont celles à caractère homophobe ou transphobe. Que vous soyez élèves ou personnels des établissements scolaires de l’Éducation nationale, retrouvez des services et ressources adaptés pour prévenir, comprendre, écouter et accompagner. La Journée mondiale de lutte contre l’homophobie et transphobie est célébrée tous les 17 mai et est une journée privilégiée pour la promotion des actions de sensibilisation et de prévention.
Le ministère chargé de l’éducation nationale lance en 2019 une nouvelle campagne nationale destinée à informer et sensibiliser les collégiens, les lycéens et l’ensemble des membres de la communauté éducative aux violences et discriminations à caractère homophobe et transphobe dont souffrent encore trop de jeunes.
Pour sa quatrième édition, la Semaine des langues vivantes se déroule du lundi 13 au samedi 18 mai 2019. Destinée à mettre en lumière les langues et la diversité linguistique dans les écoles et les établissements, ainsi qu’en dehors du cadre scolaire, cet événement constitue un temps fort pour encourager la pratique des langues.
La Semaine nationale des langues vivantes s’adresse à tous les élèves des écoles, collèges et lycées, ainsi qu’à leurs familles et au grand public. La thématique choisie en 2019 est « Partageons les langues ! ». Organisée chaque année, au mois de mai, cette Semaine s’attache à sensibiliser le grand public à la diversité linguistique qui existe sur le territoire et à l’atout que représentent les langues vivantes.
Elle s’inscrit également dans la volonté de susciter l’envie de les apprendre et de les utiliser.
Cette Semaine a pour objectifs de :
La Semaine des langues vivantes a aussi pour vocation de mettre en valeur les compétences acquises par les élèves, de donner de la visibilité à des actions déjà développées dans les écoles et les établissements et d’impulser des actions innovantes.
Cette action est également l’occasion de souligner l’importance qu’ont les langues vivantes dans la formation des citoyens (contribution à la connaissance de la culture de l’autre et à la sienne) et dans leur vie quotidienne (meilleure appréhension de la langue française, préparation de mobilité virtuelle ou réelle).
Ainsi, les actions destinées à valoriser les langues dans toute leur diversité peuvent prendre des formes variées qu’élèves et enseignants sont invités à construire ensemble :
La Journée européenne des langues, qui a lieu chaque année le 26 septembre sous l’égide du Conseil de l’Europe, peut constituer le point de départ d’un projet qui trouvera son aboutissement lors de cette Semaine.
Vendredi 26 avril 2019, une centaine d’élèves en situation de décrochage accompagnés par la mission de lutte contre le décrochage scolaire (MLDS) du département des Alpes-Maritimes ont participé, au Stade Vauban de Nice à la journée « Devenir le citoyen de demain ». La vingtaine d’ateliers proposés par des associations, des fédérations sportives et des représentants de la gendarmerie, pompiers,… ont conduit les élèves à mener une réflexion sur la citoyenneté.
Afin de développer la cohésion des élèves autour de leur école, la mission de lutte contre le décrochage (MLDS) organise des actions impliquant les élèves à se responsabiliser et à prendre en charge différents rôles au sein de la communauté éducative. Cette implication permet de renforcer leur autonomie et la confiance en soi.
10 élèves en situation de décrochage, sous la direction d’une coordonnatrice formatrice insertion, Muriel Moro, ont pris en charge l’organisation d’une journée de rencontre entre d’autres jeunes et différentes associations ou institutions pour les inciter à faire du sport mais aussi à respecter certaines valeurs.
La journée « Devenir le citoyen de demain » organisée par des élèves pour des élèves avait comme idées fortes : la paix dans le monde, l’égalité, la lutte contre les discriminations, le handicap, la solidarité, la diversité, croire en la jeunesse, le respect et l’adoption d’un animal.
L’objectif était de faire acquérir des compétences indispensables à la vie en société et au plein exercice de leur citoyenneté : responsabilité, ouverture aux autres, respect de soi et des autres, exercice de l’esprit critique, mais aussi de :
De nombreux acteurs ont permis la réalisation de cette action comme :
La MLDS accueille les élèves restés sans solution d’affectation à l’issue de leur scolarité et les élèves repérés par le réseau « FOQUALE » (réseaux Formation Qualification Emploi).
Les coordonnateurs formateurs insertion (CFI) accueillent et accompagnent chaque élève qui va contractualiser un parcours personnalisé autour de trois grandes options :
Des entretiens individuels permettent d’ajuster les parcours en cours d’année. En complément de ces dispositifs, chaque CFI propose des actions qui font appel à la « pédagogie du détour » : atelier cuisine, prévention routière, activités sportives, activités culturelles, rallye des métiers, réalisation de capsules audio et vidéo, partenariat avec la défense…
Les propositions issues de la concertation Ensemble pour l’école inclusive, engagée en octobre dernier, ont été présentées à Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, et Sophie Cluzel, secrétaire d’État chargée des Personnes handicapées, le lundi 11 février 2019.
La concertation « école inclusive » s’est organisée autour de vingt-deux réunions, en lien étroit avec le Conseil national consultatif des personnes handicapées (CNCPH). La méthodologie ascendante a permis l’expression structurée des attentes des parents, des associations de personnes en situation de handicap, des gestionnaires d’établissement médico sociaux, des professionnels de l’éducation et des accompagnants. Des organisations syndicales représentatives des enseignants, des chefs d’établissement et des personnels de direction de l’éducation nationale ont également contribué aux travaux. Au total, cette concertation a mobilisé plus de 120 participants.
Les directions d’administration centrale et les cabinets du ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse et du secrétariat d’État chargé des Personnes handicapées, se sont mis à l’écoute des acteurs de terrain et des remontées des territoires. Les groupes de travail ont ainsi auditionné des dispositifs innovants.
Lors du débat à l’Assemblée nationale du 31 janvier, le ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse a avancé des premières pistes pour faire progresser l’accueil et l’accompagnement des élèves :
Le diagnostic partagé de l’ensemble des partenaires de la concertation fait ressortir trois priorités d’approfondissement.
Un projet de parcours scolaire « simplifié », véritable contrat de confiance, doit permettre de garantir aux parents la reconnaissance et la prise en compte des besoins spécifiques de leur enfant, ainsi que la mobilisation plus rapide de réponses adaptées telles que des adaptations pédagogiques, du materiel adapté, des aides humaines ou des interventions médicosociales ou thérapeutiques, articulées avec le temps d’apprentissage.
De manière complémentaire, les périodes de préparation des rentrées doivent permettre de renforcer l’écoute attentive des parents afin de résoudre rapidement les difficultés de scolarisation qui persisteraient. Par ailleurs, les projets d’établissements scolaires, les règlements intérieurs des établissements devraient prévoir les modalités de scolarisation des élèves en situation de handicap.
La réussite des parcours scolaires des élèves handicapés implique une coopération plus étroite de l’ensemble des professionnels de l’éducation nationale et médico-sociaux, qui doivent se mobiliser à tous les niveaux au service de la réussite des élèves. Elle reste encore complexe comme en ont témoigné les porteurs de projet auditionnés par les membres de la concertation.
Cette coopération doit donc être renforcée et organisée à tous niveaux, jusque dans la classe. Au niveau régional, les conventions entre les autorités académiques et les Agences régionales pour la santé (ARS) devront fixer les principes et le cadre de la coopération des instances au service de la scolarisation de tous.
Le déploiement des pôles inclusifs d’accompagnement localisés (PIAL), qui favorisent la coordination des moyens à l’échelle de l’établissement, a suscité l’intérêt vigilant des participants à la concertation. Ils souhaitent être associés au suivi de leur déploiement. Ils ont souligné l’intérêt qu’il y aurait à élargir leur périmètre aux professionnels médico-sociaux.
Les participants à la concertation ont souligné l’importance du rôle des accompagnants, la nécessité de valoriser ce métier et d’améliorer leurs conditions de travail afin de permettre une pleine participation aux équipes éducatives dans le suivi de la scolarisation, et des échanges fluides, tant avec les enseignants, que les familles, au service de la qualité des parcours.
La justice sociale, l’équité, l’innovation territoriale et l’élévation du niveau général sont au cœur du projet de loi pour une École de la confiance. Pourquoi cette loi ? Quelles questions pose-t-elle ? Tout comprendre sur le projet de loi pour une École de la confiance.
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